Bernard Werber disait : "un véritable artiste est un artiste qui touche tout le monde. » Patiner, c’est l’engagement de toute une vie. Des années de travail et de sacrifices. De hauts et de bas qui leur on permit de faire de leur passion leur métier, et ainsi de voyager à travers le monde et de faire rêver des milliers de spectateurs. "Nous sommes le secteur de la création : sans nous, pas de livres ni de librairies ni de bibliothèques ; pas d’expositions ni de musées, de centres d’art, de galeries ; pas de films, pas de séries, ni de cinémas ; pas de spectacles, pas de festivals, pas d’affiches, pas de programmes... ", expliquaient plus de 130 organisations et syndicats d’artistes auteurs.
Surtout reconnu en tant que sport olympique, le patinage en tant que spectacle se développe de plus en plus, c’est une voix de reconversion post-compétition pour certain ou un chemin réfléchi dès le plus jeune âge pour d’autre. Mais, depuis le Covid-19, leur métier est en danger. Représentations annulées en milieu de tournée, pas de réouverture prévue, leur avenir est incertain et leur situation, dans le rouge.
Tel est le thème du spectacle organisé par la patinoire Cyberglace à Auxerre Monéteau et ses propriétaires, Thierry Voegeli et Alexandre Riccitelli, le 7 août prochain. Des conditions sanitaires seront bien évidements misent en place, masques obligatoires et distance de sécurité sur les sièges spectateurs respectée. Un moyen de mettre en scène et d’exprimer à travers l’art de la glace les problèmes que la société rencontre, leur rêve, leur doute mais aussi le message d’espoir qu’ils souhaitent faire passer.
Le rideau est tombé depuis plusieurs mois pour les artistes et les techniciens. Fin des tournées et des répétitions. Les spectacles et festivals sont annulés, les théâtres et salles de concert sont fermés. Chacun est chez soi à entrevoir un avenir qui sera très sombre malgré les premières mesures prises par les ministères du Travail et de la Culture. Pour les artistes et les techniciens, c’est un peu la triple peine. Pendant la période de confinement, aucun ne pouvait exercer son art, toutes les dates ont été annulées ou reportées. Pas de possibilité non plus de répéter une prochaine création.
Le secteur culturel est sévèrement touché par la crise sanitaire. Faisant suite à une saison d’hiver rendue difficile par les mouvements sociaux, cette situation pénalise lourdement les artistes-interprètes, qui ont été les premiers touchés par les annulations et seront parmi les derniers à pouvoir reprendre leur activité alors qu’ils font partie des populations les plus précaires. Face à l’épidémie de coronavirus Covid-19, des mesures de fermeture d’établissements recevant du public ont été prises, au cas par cas, sur décision des préfets.
En effet, comme le ministère de la Culture l’a indiqué, l’activité productrice a été interrompue brusquement depuis mi-mars du fait de l’interdiction des rassemblements. De plus, les revenus annexes dont ceux liés à l’éducation artistique, qui étaient essentiels pour bon nombre d’entre eux ont disparu dès avant la période de confinement, supprimant tout filet économique de sécurité.
La crise sanitaire est venue percuter un secteur fragile, déjà en proie à d’importantes difficultés sociales ayant donné lieu à l’annonce d’un plan d’action par le ministre à la suite de la remise du rapport Racine.
C’est dans ce contexte très particulier que le ministère de la Culture et l’ensemble du gouvernement se mobilisent pour soutenir l’ensemble du secteur et en particulier les artistes-auteurs. Ainsi, tous les artistes-auteurs, quel que soit leur statut ou leur secteur d’activité, seront bien éligibles au fonds de solidarité mis en place par l’État et les régions à destination des entreprises particulièrement touchées par les conséquences économiques, financières et sociales de la propagation de l’épidémie de covid-19 et des mesures prises pour limiter cette propagation. En complément de cette aide d’urgence se mettent en place des mesures de solidarité, adaptées aux particularités et aux rythmes d’activité de chaque secteur. Enfin, dans le même temps, l’État engage dès à présent une réflexion pour relancer l’activité créatrice et culturelle dans les meilleures conditions dès que la période de confinement touchera à sa fin. En addition à cela dans plusieurs ville de nombreux organisme lié au secteur artistique ont mis en place des plan d’actions et d’aide pour les artistes tel que Adami, Superposition Lyon ou Spedidam.
En général vite oubliées dès la rentrée, les séries télévisées estivales ne sont jamais très passionnantes. Bâties sur des clichés manichéens qui permettraient prétendument aux téléspectateurs de s'y retrouver plus facilement parmi la kyrielle...
Qualifié d’ambitieux et d’inédit, le plan de relance instauré par le couple franco-allemand propos...
Face à la crise engendrée par le COVID-19, l’un des défis du Rotary International a été de réduir...
(5.13 Mo)
"Mes frères, cessons nos plaintes ! Qu'un cri joyeux élève aux cieux nos chants de fêtes et no...
Ce qu'ignore le ministre de la Culture... La volonté du ministre de la Culture de créer une "maison...
Il n'est jamais trop tôt pour souhaiter à tous les lecteurs assidus du PODACST JOURNAL, ainsi qu'à...
Ils font partis de ceux qui manifestent depuis plus longtemps que le 5 décembre. La population...
Toutes les brèves