Je t'ai croisée
Un samedi soir
Et j'ai jeté sur ta silhouette
Une poignée d'épices colorées
Mon but était clair
T'envoûter
Tout en restant
Libre moi et libre toi
Car le roi de l'amour
N'a plus besoin d'esclaves.
Adieu, adieu la nuit
Adieu tristesse, adieu les larmes
Je ne suis plus celui
Que tu as connu, plus le même
Ô belle enfant
Qui a tant pleuré
Adieu tout est fini
Adieu les larmes, adieu la nuit.
Et le soleil de minuit a brillé pour nous
Jusqu'à l'arrivée du jour
Alors nous nous sommes séparés
Comme déjà saturés des délices du futur
Et j'ai marché seul
Guidé par ton ombre
J'ai traversé la ville déserte
Encore étincelante
Du voyage des rêveurs
Adieu, adieu la nuit
Adieu tristesse, adieu les larmes
Je ne suis plus celui
Que tu as connu, plus le même
Ô belle enfant
Qui a tant pleuré
Adieu tout est fini
Adieu les larmes, adieu la nuit.
Arthur H
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