On ne compte plus les opérations immobilières et les locations privées réservées désormais à cette nouvelle spéculation touristique, avec des contrats de location courts et particulièrement juteux.
A Sète et dans les ports de plaisance du littoral, les bateaux ventouses tiennent lieu avec AIRBNB d’habitation, augmentant les loyers en dehors de toutes règles administratives, de sécurité, d’hygiène avec le rejet des eaux usées dans le milieu naturel.
A Paris des logements sont désormais (Covid-19 oblige !) « transformés » en boîte de nuit et de lieux pour des fêtes clandestines, avec là aussi des problèmes de sécurité et de nuisances.
Les ravages de la plateforme américaine ne se comptent plus !
Petit à petit les habitants de la commune concernée sont remplacés par des touristes, transformant les logements en machine à cash, réduisant d’autant l’offre locative à l’années pour les familles et les jeunes qui en ont besoin.
L’encadrement et la régularisation de ces pratiques sont urgentes et nécessaires par l’instauration de nouvelles règles législatives, la responsabilité du gouvernement est directement engagée.
A l’échelle locale il faut donner la priorité à la rénovations des centres anciens avec par voie de convention, l’encadrement des loyers, et stopper la spéculation immobilière liée à la multitude des projets d’habitat secondaire.
Section PCF de Sète