J'écoute les musiciens de France culture, je lis ce que l'on écrit de l'avenir de l'événementiel ou du tourisme... L'idée est la même : on a peur de ne plus avoir de travail, mais on a compris que l'on en faisait "trop".
Décroissance qui n'est pas une décroissance ? La baisse de quantité est compensée par une augmentation de qualité ? Et la qualité, même dans le monde étriqué du marché, c'est le prix ?
(Bergson disait, en quelque sorte, que le temps avait une nature, que deux temps de même durée n'étaient pas identiques. Il en est peut être de même du prix. Un événement que l'on sait rare et peut être sans lendemain vaut beaucoup plus qu'un événement banal. C'est la mort qui donne du prix à la vie ?)