- La dette n'est pas un problème, parce qu'elle n'est pas de la dette, mais une création monétaire de la BCE. Nous sommes tous devenus des Japonais.
- En revanche, cette création monétaire a un prix. Spéculation dans l'immobilier (ce qui est désastreux pour la population), ou dans les titres du Nasdaq, ou défiance vis-à-vis de la monnaie, et achat de monnaies alternatives (or, bitcoin...).
- Le modèle libéral réagit en protégeant les revenus de l'actionnaire, c'est à dire en réduisant les salaires, et en délocalisant. L'envers de ce qu'attend la population.
- Problème majeur : celui de la déqualification. Des secteurs décroissent définitivement, pour d'autres, c'est le contraire. Il faut former les personnels des premiers pour aller vers les seconds (ce que la France ne sait pas faire, actuellement). Et, il y a une question de dette (pour les PME).
Les réactions de l'économie sont contre-intuitives. Hier, France Culture interrogeait l'économiste Patrick Artus :