Le capitaine Sam Wyndham a traversé le pire de la Grande Guerre, a vu mourir autour de lui la plupart de ses camarades. Son demi-frère a disparu à Cambrai. La grippe espagnole a emporté sa femme. Plus rien ne le retient en Angleterre, même pas son poste à Scotland Yard, qui devient même un atout en faveur de sa nomination à Calcutta. Il prend ses fonctions dans la police impériale en 1919. Il y retrouve les compatriotes d'hommes qu'il a vu combattre et périr en braves à Ypres en 1915. Dans un contexte très différent : " Aujourd'hui, ici à Calcutta, la façon dont nous traitons leurs semblables dans leur propre pays me trouble. "