Je vous propose une série d’articles consacrés à la musique classique. Aujourd’hui le 22e concerto pour orchestre et piano de Mozart. C’est un concerto que j’écoute plusieurs fois par année avec le même enthousiasme et la même passion. Il y a un paradoxe entre les trois mouvements de ce concerto.
Dans le premier mouvement il y a une légèreté sans aller vers l’insouciance.
Dans le second mouvement, il y a l’ombre d’une tristesse qui rappelle le premier mouvement du 24e concerto pour piano. Dans ce second mouvement il y a une complicité entre piano et orchestre. mais à un certain moment il y a au contraire une rupture, un antagonisme. À une proposition du piano répond l’orchestre à l’unisson par une complainte douloureuse qui rappelle un orage qui survient par un temps gris.
Dans le troisième mouvement on retrouve joie de vivre et légèreté.
Je vous invite à découvrir le 22e concerto pour piano dans une version d’Alfred Brendel à moins que vous ne préfériez celle de Muray Perahia. Si je découvre une version rare je ne manquerai pas de vous signaler.
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