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à cause de cinq notes de musiques… et d'une paire de soulier

Par Adelap @adelap10

"Je suis sorti sur la véranda armé d'une bière fraîche et je suis resté quelques instants avec la tête en plein soleil. C'était bon, ça faisait une semaine que je prenais le soleil tous les matins en plissant des yeux comme un bienheureux,
une semaine que j'avais rencontré Betty".

http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/ZoomPE/5/1/1/3298498097115.jpg
j'ai l'envie subite et urgente de revoir

37°2 le matin

de Jean-Jacques Beineix adapté du livre de Philippe Djian - 1986
musique de Gabriel Yared


à cause de cette lumière, de cette putain d'ambiance… et de ces souvenirs…

À tes 20 ans, mon amour

Ne t’occupe pas de ce qu’on écrit sur toi, que ce soit bon ou mauvais.
Evite les endroits où l’on parle de livres. N’écoute personne.
Si quelqu’un se penche sur ton épaule, bondis et frappe-le au visage.
Ne tiens pas de discours sur ton travail, il n’y a rien à en dire.
Ne te demande par pour quoi ni pour qui tu écris
mais pense que chacune de tes phrases pourrait être la dernière.
(Philippe Djian - Lent Dehors)

et à cause d'une paire de soulier…
à cause de cinq notes de musiques… et d'une paire de soulier

ces souliers vintage, ce fantasme, et leurs talons de 10,5 centimètres très exactement…
des souliers à porter assise!!!
Parceque je viens d'apprendre aussi que les hommes regardent
les chevilles des filles… et de les comprendre tellement
le galbe de la cheville se sensualise avec des talons…
la preuve par l'image
[talons.jpg]

J'ai découvert en flânant sur le web, un fétichiste d'élégantes parisiennes
www.loveonthebeach.com
les chevilles de ces dames sous toutes leurs formes et en toute saison!
Je trouve cela très drôle!!!
et en plus c'est toujours d'actualité
En ce moment à Beaubourg
jusqu'au 22 septembre 2008
11h00 - 21h00
Galerie d'art graphique
L'image “http://www.centrepompidou.fr/images/illustrations/XL/EXP-TICHYTEXTE.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

Miroslav Tichý

jusqu'à la fin des années quatre-vingts, faisant le choix de
l'isolement social et culturel face au régime alors en place, il réalise quotidiennement
plusieurs dizaines de clichés, ayant pour principal sujet les femmes de Kyjov. Son comportement volontairement
marginal, farouchement indépendant, à rebours de l'idéologie du progrès socialiste alors en vigueur, lui vaut des
difficultés récurrentes avec les autorités de l'époque, qui prennent la forme de divers internements en établissements
psychiatriques dans les années 1960 et 1970 et d'une expulsion de son atelier en 1972.
(source www.centrepompidou.fr)
[Miroslav-Tich-.jpg]


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