Je ne sais plus si je vous en ai déjà parlé mais j’ai les clowns en horreur.
Masques, maquillages et déguisements en général ne sont pas loin de me provoquer un effet du même tonneau.
En ce qui concerne les clowns, il ne s’agit même pas d’un traumatisme consécutif à la lecture de livres jouant sur l’angoisse et le surnaturel.
De même que le fantastique, la science-fiction et l’heroic-fantasy – je crois bien vous en avoir déjà parlé - ce genre de littérature me tombe vite des mains.
Je ne crois pas non plus avoir été marqué petit par un clown particulièrement effrayant et mes souvenirs de cirque, pas forcément désagréables sont au pire plus marqués par l’ennui que par la crainte.
Bref, je ne sais pas du tout d’où ça vient mais c’est là, puissant et désagréable, qui me tourne l’estomac et affole mes glandes sudoripares. La présence de ces types outrageusement grimés et grotesquement attifés me plonge dans un état de pure angoisse.
C’est avec les clowns que l’effet se fait sentir avec le plus de violence et de systématisme mais, comme je le disais textuellement un peu plus haut, masques, maquillages et déguisements en général ne sont pas loin de me provoquer un effet du même tonneau.
Je laisse à votre sagacité, esprit déductif et fine connaissance de l’âme humaine le soin de trouver les meilleures explications à cette bizarre intolérance.
Enfin, si vous en avez le loisir et l’envie, je sais bien que le temps presse et votre patience s’use.