L’année 2019 a probablement marqué une rupture du point de vue de ce qu’on pourrait nommer la « conscience écologique ». Alors que l’acronyme de GIEC était quasiment inconnu il y a quelques années, difficile maintenant de ne pas avoir entendu parler des rapports de cette institution intergouvernementale. Les marches pour le climat et grèves d’étudiants suivant leur nouvelle égérie Greta Thunberg n’ont cessé de marquer la vie politique cette année. Le monde économique s’est également emparé de la question : des Journées de l’économie à Lyon au forum économique mondial de Davos, la question écologique ne peut plus être évitée. Alors qu’il y a dix ans, la question environnementale n’était abordée par les partis politique que lors des élections pour s’assurer le soutien et donc les voix des partis écologistes, aujourd’hui presque tous les bords politiques ont intégré cette problématique dans leur idéologie et leurs programmes, et il se pourrait bien qu’elle devienne décisive à l’occasion des prochaines élections municipales, voire présidentielle.
Magazine Humeur
Municipales : l’écologie va-t-elle bousculer les élections ?
Publié le 01 juillet 2020 par Magazinenagg
Si on veut éviter que la question écologique ne se transforme en cheval de Troie d’un collectivisme débridé, les libéraux doivent développer et surtout faire connaître des alternatives.
L’année 2019 a probablement marqué une rupture du point de vue de ce qu’on pourrait nommer la « conscience écologique ». Alors que l’acronyme de GIEC était quasiment inconnu il y a quelques années, difficile maintenant de ne pas avoir entendu parler des rapports de cette institution intergouvernementale. Les marches pour le climat et grèves d’étudiants suivant leur nouvelle égérie Greta Thunberg n’ont cessé de marquer la vie politique cette année. Le monde économique s’est également emparé de la question : des Journées de l’économie à Lyon au forum économique mondial de Davos, la question écologique ne peut plus être évitée. Alors qu’il y a dix ans, la question environnementale n’était abordée par les partis politique que lors des élections pour s’assurer le soutien et donc les voix des partis écologistes, aujourd’hui presque tous les bords politiques ont intégré cette problématique dans leur idéologie et leurs programmes, et il se pourrait bien qu’elle devienne décisive à l’occasion des prochaines élections municipales, voire présidentielle.
L’année 2019 a probablement marqué une rupture du point de vue de ce qu’on pourrait nommer la « conscience écologique ». Alors que l’acronyme de GIEC était quasiment inconnu il y a quelques années, difficile maintenant de ne pas avoir entendu parler des rapports de cette institution intergouvernementale. Les marches pour le climat et grèves d’étudiants suivant leur nouvelle égérie Greta Thunberg n’ont cessé de marquer la vie politique cette année. Le monde économique s’est également emparé de la question : des Journées de l’économie à Lyon au forum économique mondial de Davos, la question écologique ne peut plus être évitée. Alors qu’il y a dix ans, la question environnementale n’était abordée par les partis politique que lors des élections pour s’assurer le soutien et donc les voix des partis écologistes, aujourd’hui presque tous les bords politiques ont intégré cette problématique dans leur idéologie et leurs programmes, et il se pourrait bien qu’elle devienne décisive à l’occasion des prochaines élections municipales, voire présidentielle.