Des dessins en noir et blanc. Peu de texte. D’une case à la suivante, on est accroché, on a envie de savoir la suite. Pas toujours évident de savoir à qui on s’identifie parmi les personnages qui apparaissent. Pas toujours sûr de pouvoir anticiper la fin du court récit en quelques pages que nous raconte Chabouté. Tout tient à un détail, à un cadrage, à quelques secondes. Et si on rit — parce qu’on rit — c’est surtout d’avoir tourné les pages sans deviner souvent ce qui va survenir.
Ainsi, devinerez-vous où se passe la scène dont j’extrais ici deux images ?