Le Kevin de Lionel Shriver devient « iconique », du nom adopté par J’ai lu pour mettre en évidence, grâce aussi à une charte graphique qui rend les couvertures très reconnaissables, quelques « livres singuliers, inclassables, qui ont en commun d'avoir marqué leur époque », comme le dit la présentation de la série. On y trouve actuellement, avant une deuxième vague annoncée pour octobre, 37°2 le matin, de Philippe Djian, Rapport sur moi, de Grégoire Bouillier, Racines, d’Alex Haley, et, donc, Il faut qu’on parle de Kevin, de Lionel Shriver.
Le Kevin de Lionel Shriver devient « iconique », du nom adopté par J’ai lu pour mettre en évidence, grâce aussi à une charte graphique qui rend les couvertures très reconnaissables, quelques « livres singuliers, inclassables, qui ont en commun d'avoir marqué leur époque », comme le dit la présentation de la série. On y trouve actuellement, avant une deuxième vague annoncée pour octobre, 37°2 le matin, de Philippe Djian, Rapport sur moi, de Grégoire Bouillier, Racines, d’Alex Haley, et, donc, Il faut qu’on parle de Kevin, de Lionel Shriver.