Un article de l’Iref-Europe Par ces temps de crise, les dividendes passent un mauvais quart d’heure. Or, ils sont liés à la bonne santé des entreprises, à l’innovation et à l’investissement. Pour investir il faut de l’argent et pour cela il faut rémunérer ceux qui l’apportent. Cette rémunération est nommée un dividende. Le groupe Total a annoncé que malgré la crise sanitaire et la forte chute du prix du pétrole qu’elle a engendrée, les moyens de transport étant beaucoup moins utilisés, il règlera néanmoins à ses 400 000 actionnaires le dividende promis. Pourtant, des pressions sont venues du gouvernement et du mouvement anti-dividendes pour ne pas les payer ou en différer le versement. Heureusement, Total ne s’est pas laissé impressionner. Son indépendance à l’égard de l’État, contrairement à Renault par exemple, fait que l’entreprise n’a pas besoin de lui demander des aides et ainsi ne ponctionnera rien sur les finances publiques. Payer le dividende, c’est tenir ses engagements et consolider la confiance des actionnaires.
Magazine Humeur
Pour investir il faut de l’argent et pour cela il faut rémunérer ceux qui apportent et versent cet argent. C’est ce qui s’appelle un dividende.
Par Patrick Simon.
Un article de l’Iref-Europe Par ces temps de crise, les dividendes passent un mauvais quart d’heure. Or, ils sont liés à la bonne santé des entreprises, à l’innovation et à l’investissement. Pour investir il faut de l’argent et pour cela il faut rémunérer ceux qui l’apportent. Cette rémunération est nommée un dividende. Le groupe Total a annoncé que malgré la crise sanitaire et la forte chute du prix du pétrole qu’elle a engendrée, les moyens de transport étant beaucoup moins utilisés, il règlera néanmoins à ses 400 000 actionnaires le dividende promis. Pourtant, des pressions sont venues du gouvernement et du mouvement anti-dividendes pour ne pas les payer ou en différer le versement. Heureusement, Total ne s’est pas laissé impressionner. Son indépendance à l’égard de l’État, contrairement à Renault par exemple, fait que l’entreprise n’a pas besoin de lui demander des aides et ainsi ne ponctionnera rien sur les finances publiques. Payer le dividende, c’est tenir ses engagements et consolider la confiance des actionnaires.
Un article de l’Iref-Europe Par ces temps de crise, les dividendes passent un mauvais quart d’heure. Or, ils sont liés à la bonne santé des entreprises, à l’innovation et à l’investissement. Pour investir il faut de l’argent et pour cela il faut rémunérer ceux qui l’apportent. Cette rémunération est nommée un dividende. Le groupe Total a annoncé que malgré la crise sanitaire et la forte chute du prix du pétrole qu’elle a engendrée, les moyens de transport étant beaucoup moins utilisés, il règlera néanmoins à ses 400 000 actionnaires le dividende promis. Pourtant, des pressions sont venues du gouvernement et du mouvement anti-dividendes pour ne pas les payer ou en différer le versement. Heureusement, Total ne s’est pas laissé impressionner. Son indépendance à l’égard de l’État, contrairement à Renault par exemple, fait que l’entreprise n’a pas besoin de lui demander des aides et ainsi ne ponctionnera rien sur les finances publiques. Payer le dividende, c’est tenir ses engagements et consolider la confiance des actionnaires.