Paru sur la page facebook des Radicaux de gauche – LRDG du Val d’europe
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Le secteur du Val d’Europe s’est formé autour d’un grand parc d’attractions et l’activité première du territoire est le tourisme, l’une des premières sources de revenus pour notre pays, puisque quelques 80 millions de touristes le visitent chaque année.
Le territoire est devenu le premier site touristique d’Europe, desservi par une gare internationale et des lignes régionales en liaison avec la capitale, proches des 2 grands aéroports parisiens, lui conférant une position centrale et ouverte à l’attrait indéniable. Les visiteurs peuvent ainsi, profiter à la fois, du parc d’attractions et de l’intérêt patrimonial, gastronomique et commercial de la Seine & Marne et des départements aux alentours.
Pour répondre aux besoins des entreprises du secteur du tourisme, chaque jour des salariés viennent travailler en extra dans les restaurants, hôtels, salons, festivals ou congrès, et participent à la vie économique du Val d’Europe. Des emplois hautement nécessaires, mais néanmoins, d’une grande précarité.
La crise sanitaire et la crise économique dans laquelle nous entrons, mettent déjà à mal la situation de ces salariés. Ces femmes et ces hommes, dont le statut rend plus difficile, suite aux différents réformes, l’accès à l’assurance chômage, sont plongés dans une totale précarité. De plus, les employeurs ont déjà annoncé qu’il ne leur sera pas possible de réembaucher la totalité des CDI, éloignant de fait les extras d’un retour à l’emploi.
Les Radicaux de gauche – LRDG du Val d’Europe, conscients des difficultés rencontrées par ces professionnels, soutiennent leurs revendications en demandant l’abrogation des décrets durcissant leur accès à l’assurance chômage et la prolongation des droits des chômeurs , jusqu’au 31 aout 2021.
Les LRDG du Val d’Europe demandent au gouvernement de prévoir un vrai plan de relance et d’attractivité auprès des Français, en faveur de ce secteur d’activité, qui contribue grandement au rayonnement de notre pays et qui sera la meilleure réponse aux craintes qu’expriment les salariés de ces professions.