[Manga] Assassin’s Creed : Blade of Shao Jun

Histoire : En 1526, la dynastie Ming règne depuis près de 200 ans, et la Chine jusque-là prospère sombre dans le chaos. Zhang Yong, chef des Huit Tigres, un groupe de Templiers, en profite pour faire éliminer tous ceux qui pourraient se dresser entre lui et le pouvoir. Pour échapper à une mort certaine, Shao Jun – la dernière Assassin de la Confrérie chinoise – a fui en Europe auprès d’un mystérieux mentor italien. De retour dans son pays, elle est déterminée à prendre sa revanche contre ceux qui ont massacré son clan…

Mon Avis : Je tiens à remercier Mana Books pour l’envoi de ce manga. Il est à noter que le petit plus de cette édition c’est la double couverture du manga qui est vraiment sublime, difficile donc de choisir celle-ci ! Tout d’abord, il faut savoir que ce manga est tiré du jeu Assassin’s Creed Chronicles : China, jeu assez différent des autres de la licence. Ce dernier se passe en Chine et on suit l’héroïne Shao Jun qui est une Assassin. Cette héroïne est elle-même suivi par Lisa qui va dans l’animus pour voir son ancêtre et comprendre pourquoi elle est violente dans sa vie et qu’elle a de sérieux problèmes. Shao Jun veut sa vengeance et elle est prête à tout pour se débarrasser des templiers et surtout récupérer une boite. C’est pour cela qu’elle se lance à la poursuite des 4 templiers et qu’elle libèrent les prisonniers qu’ils ont fait. Le manga commence direction dans l’action et les choses sérieuses commencent directement. On navigue alors entre Shao Jun et Lisa ce qui est plutôt intérressant de voir les deux côtés et surtout se rendre compte que la société Abstergo est prêt à tout pour réussir à obtenir ce qu’elle veut même au risque que des personnes meurent.

En résumé, Assassin’s Creed : Blade of Shao Jun Tome 1 est un bon manga. Le style graphique est vraiment bon et c’est agréable de voir ce que l’on connaît dans un jeu en manga. En plus, c’est plutôt plaisant de suivre une héroïne dans ce rôle et de passer de la vie réelle à l’animus. Vivement la suite.