De l’Histoire de Sète, Madame la Rédactrice en chef du Midi Libre n’en connait que ce qui transpire des réseaux sociaux, dont elle reconnait d’ailleurs la capacité de nuisance.
Ecrire, comme elle le fait, « que la défiance entre le PS et le PCF est une longue histoire et une question de survie politique dans l’Ile singulière » c’est ignorer totalement que dans cette Histoire, il y a eu depuis 1960, 30 ans de gestion unitaire et solidaire avec Pierre Arraut, Gilbert Martelli, François Liberti, qui ont écrit la plus belle page de la construction de la ville, du théâtre de la Mer au musée Paul Valéry, de l’école des Beaux-Arts au MIAM, de la construction du lycée Joliot Curie à celle des écoles de la ville, des crèches, des haltes garderies, des premières classes de neige aux centres de vacances pour les jeunes et les familles, des premières rues piétonnes au gymnase Paul Di Stéphano Nakache à la piscine Biascamano, de la réalisation de tout le réseau des eaux usées, de la création de la déchèterie au tri sélectif, en passant par la salle Georges Brassens, aujourd’hui démolie par François Commeinhes.
Enfin de quelles preuves parle-t-elle pour se permettre d’écrire que le groupe de gauche du Conseil Municipal face à Commeinhes n’a pas su travailler ensemble ?
On ne demande pas l’impossible à Madame la Rédactrice en chef du Midi Libre, sa bienveillance on le sait va toujours du même côté, mais un minimum d’objectivité ne ferait de mal à personne, car la dignité de la campagne passe aussi par le respect de chacun, et de la vérité.
Cela est valable aussi pour ceux qui ont la responsabilité de l’information, peut-être même plus que pour tout le monde.
François Liberti
Conseiller municipal et conseiller communautaire d’opposition Puissance Sète le Rassemblement