Et que ces personnes touchaient un salaire indigne de leur fonction.Il faut rémunérer la contribution sociale de ces personnels, à défaut de leur contribution économique.Première réforme urgente : revoir les salaires de certaines professions.
Cette pandémie a conduit à ouvrir les vannes de divers financements qu’il va falloir assumer dans les années à venir.Cet argent dépensé étant le nôtre (et aussi de nos enfants nés ou à naître selon la formule consacrée), il va falloir rapidement boucher d’autres trous d’où s’échappent nos richesses.Deuxième action urgente : faire des économies. Dans un premier temps, il n’est pas nécessaire de rogner sur des dépenses utiles si déjà on se concentre à fond sur la lutte contre les nombreux gaspillages qui gangrènent notre société. Certaines réglementations obsolètes, notre bureaucratie étouffante, la multitude de comités Théodule qui pondent des normes à longueur d’année sont trop souvent sources de gaspillages, pour un intérêt proche de zéro. Il faut se donner le courage de faire une purge à ce niveau.
Cette pandémie a montré que des solidarités pouvaient se faire jour. La solidarité implique aussi une certaine égalité, une égalité de traitement entre autres. Troisième action à mettre en œuvre sans attendre : rétablir une égalitéentre le public et le privé notamment ; que ce soit au niveau des rémunérations, de la retraite, de la santé (jours de carence, maintien de salaire), des droits à congés, etc.… Des différences peuvent exister entre professions, dues aux conditions particulières d’exercice, mais non du fait de l’appartenance au public ou au privé.
Et tant d’autres pistes existent encore,,,,,