L’humble atrium de Cornelius Pomponius Pisces est un site web sur l’histoire de l’Église chrétienne dans la Rome antique.
Le rédacteur est un jeune chrétien évangélique français, passionné de littérature classique et moderne, de philosophie, d’histoire et d’apologétique. Dans cet ordre d’idées, la vision de ce blogue est de faire connaître l’histoire du christianisme romain des premiers siècles et de démêler l’historique du fictif dans les légendes chrétiennes sur cette époque. Le rédacteur s’intéresse aussi aux rapports entre les premiers chrétiens et la culture païenne, notamment les philosophes gréco-romains. Il s’adresse essentiellement, mais pas exclusivement, à un public chrétien francophone.
Cet humble atrium a vu le jour après que Cornelius Pomponius Pisces ait un écrit un article sur le blogue d’apologétique culturelle Visio Mundus, consacré à la relation entre le philosophe Sénèque et l’apôtre Paul. Ses recherches effectuées pour cet article lui ont fait prendre conscience qu’il existe beaucoup plus de choses à dire sur cette époque passionnante, ce qui en fait un domaine encore largement inexploré, d’où la création de cet atrium.
Le pseudonyme du rédacteur est inspiré de la coutume que suivaient les patriciens romains en Antiquité pour « organiser » leur noms en trois parties : Un prénom (praenomen), suivi d’un nom de famille (nomen), suivi d’un surnom (cognomen). Par exemple, le nom complet de Cicéron était : Marcus (praenomen) Tullius (nomen) Cicero (cognomen).
Le nom de plume du rédacteur suit ce modèle tripartite. Cornelius fait référence à Corneille, qui fut le premier chrétien romain, un centurion de l’armée impériale basé à Césarée-de-Judée, dont l’histoire de conversion est racontée en Actes 10. Pomponius fait référence à Pomponia Graecina, qui pourrait être la première chrétienne de la famille impériale. Enfin, Pisces – qui signifie poisson – est la forme latine d’ichthus, le premier symbole connu des chrétiens dans l’Empire romain. Le pseudonyme Cornelius Pomponius Pisces est donc un clin d’œil à l’Église romaine des premiers siècles.
Voici, en guise d’apéritif à ce qui s’annonce être une riche référence de vulgarisation réfléchie du christianisme antique dans la Francophonie, une sélection de quelques articles pour débuter votre lecture dans cet atrium :