Je republie ici un ancien poème écrit le 21 avril 2008.
Faire le vide des mots
Qui assaillent mon cerveau
Un besoin mais les vases
Communicants de la vie
A chaque nouvelle phrase
Se vident puis se remplissent
Comme les fleuves dans leur lit
Courent vers la mer et glissent
Sans jamais disparaître
Les mots ne font que renaître.
Je republie ici un ancien poème écrit le 21 avril 2008.
Faire le vide des mots
Qui assaillent mon cerveau
Un besoin mais les vases
Communicants de la vie
A chaque nouvelle phrase
Se vident puis se remplissent
Comme les fleuves dans leur lit
Courent vers la mer et glissent
Sans jamais disparaître
Les mots ne font que renaître.