On m’a posé un lapin

Publié le 02 mai 2020 par Bastienb

On m’a posé un lapin ! Et ce n’était même pas le lièvre de Pâques venu m’apporter des chocolats. Disons plutôt qu’on m’a pris pour une cloche pascale, elle aussi ! Puisque le lapin que l’on m’a posé a suscité chez moi un certain intérêt et une colère tout aussi certaine, je vous propose aujourd’hui de rencontrer quelques lapins fictifs (aussi fictif que mon rendez-vous manqué) et célèbres.

Pour commencer voici, les lapins tout aussi crétins que celui que l’on vient de me poser ! Ces animaux à grandes oreilles nommés Raving Rabbids ont été inventés par la société Ubisoft commet personnages antagonistes pour les jeux Rayman.

Un peu plus tendre est ce Pierre Lapin (Peter Rabbit),  extrait des livres de contes rédigés et illustrés par  Beatrix Potter.

Et voici le fidèle ami de Bambi, le lapin Panpan. Il se nomme ainsi parce qu’il a la fâcheuse manie de réveiller ses compagnons de terrier en tapant le sol du pied. Un peu comme moi qui trépignait en faisant le pied de grue lors de ma rencontre loupée.

Toujours en retard, le lapin blanc au gousset est tiré de l’oeuvre de Lewis Caroll. C’est en le poursuivant qu’Alice tombe dans un terrier et se retrouve à vivre une aventure fabuleuse au Pays des Merveilles.

Quoi de neuf Docteur ? Vous l’avez deviné, il s’agit bien du lapin Bugs Bunny venu tout droit avec sa carotte des cartoons de la Warner Bros.

Le héros du film de Robert Zemeckis Qui veut la peau de Roger Rabbit est lui aussi  un lapin animé.

On trouve même des lapins dans le domaine mathématique. Les lapins de Fibonacci, est un problème de maths amusantes imaginé au Moyen-âge  par Leonardo Fibonacci dans l’un de ses ouvrages intitulé Liber Abaci.

Ce lapin est bien gourmand puisqu’il est l’égérie de la marque de poudre chocolatée Nesquik !

Et pour terminer en apothéose, nous citerons le lapin de la très masculine revue Playboy !

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