Furieux, il la condamna à mort. Aussitôt, deux gardes entrèrent dans le salon et décapitèrent l’irrespectueuse. Alors le dictateur ajouta une coche sur son journal d’exécutions, affligé de ne pas atteindre encore la moitié du premier tome. S’il n’intensifiait pas la terreur, il ne deviendrait jamais célèbre.
Furieux, il la condamna à mort. Aussitôt, deux gardes entrèrent dans le salon et décapitèrent l’irrespectueuse. Alors le dictateur ajouta une coche sur son journal d’exécutions, affligé de ne pas atteindre encore la moitié du premier tome. S’il n’intensifiait pas la terreur, il ne deviendrait jamais célèbre.