Pardonnez l'éclat de ma voix tonitruante dans cette torpeur estivale.Pardonnez moi d'être allé un instant, entre deux lames de ciseau, cueillir d'autres fruits au pays défendu où la cité se construit.Sans dieu ni maître, vogue mon esprit dans la libe
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je t'imagine, poète ermite dans la chaleur de l'été qui rend les rues désertes, et continue de clamer les paroles de la muse...