Maras, c’est d’abord une combe qui ouvre la montagne,
Puis un torrent aux rives étrangement blanches,
Puis un chemin qui crapahute dur dans la montagne,
Puis un tache blanche croquant celle-ci,
Puis des bassins en terrasse, blanc, gris,beige, brun, rouge…
Puis des dizaines de points noirs ramassant, raclant le sel,
Puis des tas de sels aux couleurs distinctes,
Puis des enfants pieds nus courants, éclat de rire.
Continuer son chemin, la saline devient palette de peintre,
Puis on arrive sur le plateau,
Puis on arrive au village,
Un restaurant, une soupe chaude,
Un souvenir qui préfère rester un rêve.