Il y a une dizaine d'années je m'inquiétais du "biohacking". Il est désormais extrêmement facile, et peu coûteux, de modifier de l'ADN, y compris pour un "bricoleur". C'est ce que l'on appelle "biohacking".
A l'époque, on l'a vu comme le triomphe de la créativité du marché, une source d'innovation et de richesse. Mais, l'on commence par se demander si le coronavirus n'en serait pas un résultat.
Et s'il fallait s'interroger sur ce qui se passe dans le monde de la recherche ? Et le remettre sous contrôle ? (Ce qui n'est probablement pas simple, l'ADN modifié, qui se répand par pandémie, est une arme bien plus terrible qu'un fusil d'assaut.)