A la journée de la transformation du 21 janvier 2020, Jacques Isnard y est a allé à la fois comme participant et intervenant pour la conférence « Agir avec bienveillance et laisser faire la confiance ». Sa double vision de l’événement nous communique l’enthousiasme qu’il y a vécu à l’écoute des débats qui y ont eu lieu.
Pourquoi avez-vous choisi de participer à cet événement ?
Le thème de la journée « Agir et laisser faire », la confiance et la bienveillance qui émanent de l’événement résonnent avec ma philosophie personnelle. Suite à ma rencontre avec des intervenants de CSP, suivie d’échanges et réflexions, je me suis rendu compte que j’avais l’opportunité de joindre ma conviction à celles d’autres durant cette journée. J’étais persuadé que la parole y était libre et entendue, ce qui s’est avéré ! Et c’est particulièrement agréable et rare.
Qu’est-ce que la transformation pour vous ?
Une évidence. Parce qu’aujourd’hui, même si cela peut sonner comme un lieu commun, un certain nombre de choses vont plus vite qu’autrefois. Les comportements des nouveaux entrants en entreprise sont différents, la vague numérique change beaucoup de choses. On vit cette période mouvante. Dans cet environnement-là, le changement est une évidence. On ne peut pas, ne pas bouger. La transformation, c’est aussi une envie. Dans cette période de changement, on a envie de chercher ce qui permet à chacun de changer dans son travail. Car, quand on vit mieux dans son travail, on est plus efficace et plus serein. La transformation peut conduire à plus de sérénité et c’est ce que je recherche. évidence. On ne peut pas, ne pas bouger. La transformation, c’est aussi une envie. Dans cette période de changement, on a envie de chercher ce qui permet à chacun de changer dans son travail. Car, quand on vit mieux dans son travail, on est plus efficace et plus serein. La transformation peut conduire à plus de sérénité et c’est ce que je recherche.
Un conseil pour bien se transformer ?
Je donnerais plutôt deux « prérequis » pour bien se transformer : faire confiance, car c’est un outil et un carburant puissant et rester audacieux, c’est-à-dire savoir aller au-delà de sa part du changement, transformer ses doutes en point d’appui et trouver de l’énergie pour dépasser des craintes. Pour revenir sur le thème « Agir et laisser faire », on peut considérer que pour agir avec bienveillance, il faut de l’audace et « faire » et utiliser sa maîtrise de la confiance.
Vous avez décidé de participer à l’ensemble de la journée, pourquoi ?
Le thème de la journée et le profil des intervenants m’ont vraiment poussé à tout voir et tout écouter. C’était même un peu frustrant car je n’ai pas pu participer à toutes les activités ! J’ai beaucoup apprécié l’intervention de Julien Vidal que je considère comme une belle rencontre ! Je ne le connaissais pas vraiment avant l’événement. Son discours sur l’écologie n’est pas du tout donneur de leçon, culpabilisant ou punitif ! Au contraire, j’ai trouvé cela très frais et revigorant, en un mot positif ! J’ai apprécié l’atelier sur « le Management, frein ou levier de la transformation », j’aurais juste aimé aller plus loin dans l’échange : le temps nous a manqué ! Mais c’était une journée très bien menée dans son organisation. Tout a été fait pour accueillir comme il se doit nous, les participants et les intervenants ! Bravo pour ce très agréable moment qui a donné lieu à des échanges et des rencontres denses et pleins de promesses !
Propos recueillis par Camille Beltran – CSP the Art of Training
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« Il faut de l’audace et du temps pour libérer l’entreprise », entretien de Jacques Isnard, publié sur le blog en 2019.
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