Il a marché cinq semaines sans croiser beaucoup d’êtres humains, seul dans les montagnes. Arrivé au-dessus de Menton, il était heureux de voir la mer, mais inquiet à l’idée de retrouver la civilisation, le béton, les voitures, les cris et les bruits. Alors il a fait demi-tour.
Il a marché cinq semaines sans croiser beaucoup d’êtres humains, seul dans les montagnes. Arrivé au-dessus de Menton, il était heureux de voir la mer, mais inquiet à l’idée de retrouver la civilisation, le béton, les voitures, les cris et les bruits. Alors il a fait demi-tour.