Elle s’accroche partout,
Aux murs, sur un fil,
Se faufile dans les interstices
S’entremêle avec celles et ceux qui l’entourent.
Bientôt elle laisse s’échapper
De douces pétales violacées
Qui viendront tapisser le sol
Se déploient alors avec majesté
Des feuilles d’un vert pâle
Qui vont former de grandes lianes
Et grandir jusqu’à toucher le ciel
Elles permettront l’été venu
De s’abriter du soleil brûlant
Et de profiter ainsi
D’une liberté retrouvée
Je me nomme la glycine
Merci Franck !
J’ai récemment participé à une chaîne poétique qui me permet de recevoir des poèmes envoyés (la plupart du temps) par des inconnus. J’ai choisi de vous les partager ici.