Si l’on fait en permanence l’épreuve de l’existence, en l’éprouvant, rien en revanche ne prouve sa nécessité ; menacée par le temps elle est par là même elle inséparable de la possibilité de sa fin, et de la possibilité de la mort.
Si l’on fait en permanence l’épreuve de l’existence, en l’éprouvant, rien en revanche ne prouve sa nécessité ; menacée par le temps elle est par là même elle inséparable de la possibilité de sa fin, et de la possibilité de la mort.