Des ressources, des informations, des propositions de lecture, des vidéos, etc.
Littérature, poésie bien sûr, mais aussi sciences et musique.
Il faut porter en soi cette indulgence et cette attention
qui font fleurir les pensées d'autrui.
(Joseph Joubert*)
• Un kiosque pour les pro de la scène
Dans la situation inédite que nous traversons, soucieux d’exercer notre mission essentielle d’information de la filière professionnelle, nous avons décidé de partager nos publications avec le plus grand nombre.
La Scène, La Lettre du Spectacle, Le Jurisculture, La Lettre de l'entreprise culturelle, Le Juriscène, Le Piccolo, Culturelink... Profitez-en, sur ordinateur, tablette ou mobile !
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• La nouvelle du jour des éditions Zulma
Elle est signée Hubert Haddad.
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• *Joseph Joubert bien sûr
Poezibao offre à ses lecteurs cette citation de Joubert : « Au lieu de me plaindre de ce que la rose a des épines, je me félicite de ce que l'épine est surmontée de roses et de ce que le buisson porte des fleurs. »
Joubert l’indispensable, mis en avant sur le site de Patrick Corneau ; « il y a de plus en plus d’écrivants, rivalisant d’écriture au nom d’un « individualisme expressif » revendiqué comme un droit qui a désormais valeur de norme. Surtout, en remontant la généalogie de ce qui fonde cette pulsion d’affirmation graphomaniaque et de ceux qui l’ont illustré, j’ai senti le besoin d’interroger la posture caractéristique d’une famille d’écrivains de l’intime et du secret. Cette « lignée » qui ne recherche ni visibilité ni reconnaissance – à l’opposé de cet immense orchestre contemporain de plaintes concordantes participant au grand sommeil collectif – cherche dans la littérature un processus d’intensification du langage passant paradoxalement par l’art du peu, le resserrement du plus savant au plus simple, l’esprit de perfection intérieure, la discrétion, la pudeur, la confidence chuchotée auprès de quelques lecteurs fervents formant une postérité feutrée. Parmi ces quelques perles* que les unhappy many ne remarqueront jamais, celle qui possède le lustre et l’orient les plus beaux : Joseph Joubert. »
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• Rêves d’anticipation et futurs merveilleux au XIXe siècle
Comment construire un monde meilleur ? Cette question, qui occupe perpétuellement nos sociétés, a particulièrement marqué le XIXe siècle. Phalanstères, communautés alternatives... : @retronews consacre un cycle à ces utopies des XIX et XXe s
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• Aujourd’hui Pierre Vinclair propose une villanelle
Tu es ma prisonnière et je suis ton otage.
Je fais comme un poisson dont l’eau est agitée
Quand tu rugis, nerveuse, une panthère en cage.
Tu demandes : « Combien durera ce blocage ?
Cela ne fait-il pas déjà l’éternité ! »
Tu es ma prisonnière et je suis ton otage.
Les courses, le repas, les corvées de ménage —
Tu te jettes sur toutes les activités
Quand tu rugis, nerveuse, une panthère en cage.
Je m’égaye en confectionnant sur une page
Un mécanisme prosodique bien monté :
Tu es ma prisonnière et je suis ton otage.
Je n’ose imaginer occupation moins sage :
Les enfants curieux pourraient nous écouter
Quand tu rugis, nerveuse, une panthère en cage.
Peu importe ! Je sens que je tourne sauvage
Viens me battre ! Je vais te mordre et te fouetter !
Tu es ma prisonnière et je suis ton otage
Quand tu rugis, nerveuse, une panthère en cage.
Musique
• Anniversaire de la création des Six pièces pour orchestre, op. 6 de Webern en 1913
L'œuvre est jouée pour la première fois le 31 mars 1913 à Vienne, sous la direction d'Arnold Schönberg. Le compositeur en a donné une version remaniée en 1928.
Écouter l’œuvre sous la direction de Simon Rattle version de 1928
Écouter l’œuvre sous la direction de Pierre Boulez version de 1913
• Jazz, le choix d’Auxeméry : Slim Gaillard
Écouter Slim Gaillard, dans ses œuvres
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On peut lire aussi une nouvelle parution du Flotoir.