Deux semaines que nous sommes confinés. Il règne comme un air de fin de vacances. Au début, dispense de travail, toute la famille réunie, on se serait cru, d’une certaine façon, en congés, d’autant plus qu’on avait du mal à réaliser ce qui se passait vraiment.
Au bout de quinze jours, le confinement devient pesant.
Et pourtant il faut garder courage, car unis et solidaires, on traversera cette épreuve. Soyons vigilants à la sortie de ce cauchemar, ne laissons pas nos dirigeants reprendre la vie d’avant, cette période ne doit pas être réduite à un interlude dans notre monde d’hier. Elle doit être la fin de notre façon de vivre d’avant 2020, et le départ d’une autre façon de vivre. A nous de la définir, de la défendre, en pensant plus à l’humain qu’à l’économie, en pensant à nous, à nos enfants, à aux générations à venir.