Ce report ne sera pas sans conséquence. En effet, des spécialistes estiment que la facture pourrait s’élever à quelque 2,5 milliards d’euros. Ce chiffre correspond aux frais de location des sites d’accueil, à diverses modifications dans les plannings établis (hôtellerie, emploi, agents de sécurité, etc.). En fin d’année dernière, le Japon déclarait que les Jeux couteraient au total 11,5 milliards d’euros. C’était sans compter le décalage de l’évènement sportif le plus médiatisé au monde. Les sponsors ne sont pas en reste et on peut allègrement imaginer que Thomas Bach, le président du Comité international olympique, a dû s’entretenir avec eux avant d’annoncer ce report. Le CIO a déclaré que 57% des 11 000 participants prévus aux JO ont déjà obtenu leur qualification. La question est de savoir comment organiser le reste des épreuves qualificatives dans le contexte actuel. Plusieurs disciplines, comme la boxe ou le judo, ont vu leur tournoi de qualification suspendu en raison de la crise sanitaire liée au Covid-19. "Les quotas alloués restent alloués", déclare-t-on du côté du Comité olympique. Il y avait les guerres classiques, celles où les hommes s’affrontaient face à face, il y a eu les guerres sournoises du terrorisme et maintenant il y a les guerres bactériologiques. Et au milieu de tout cela, il y a vous et moi, virevoltant comme un...
C’est par la voix du Premier ministre japonais, Shinzo Abe, que le Japon et le CIO ont conjointement pris la décision de reporter les Jeux olympiques d’été de 2020 à l’année suivante. Jusqu’à présent seules les guerres mondiales avaient eu raison des olympiades. Il s’agit donc d’une première concernant un report de la compétition en temps de paix. Pour l’anecdote, les JO d’été seront organisés pour la première fois une année impaire.
Ce report ne sera pas sans conséquence. En effet, des spécialistes estiment que la facture pourrait s’élever à quelque 2,5 milliards d’euros. Ce chiffre correspond aux frais de location des sites d’accueil, à diverses modifications dans les plannings établis (hôtellerie, emploi, agents de sécurité, etc.). En fin d’année dernière, le Japon déclarait que les Jeux couteraient au total 11,5 milliards d’euros. C’était sans compter le décalage de l’évènement sportif le plus médiatisé au monde. Les sponsors ne sont pas en reste et on peut allègrement imaginer que Thomas Bach, le président du Comité international olympique, a dû s’entretenir avec eux avant d’annoncer ce report. Le CIO a déclaré que 57% des 11 000 participants prévus aux JO ont déjà obtenu leur qualification. La question est de savoir comment organiser le reste des épreuves qualificatives dans le contexte actuel. Plusieurs disciplines, comme la boxe ou le judo, ont vu leur tournoi de qualification suspendu en raison de la crise sanitaire liée au Covid-19. "Les quotas alloués restent alloués", déclare-t-on du côté du Comité olympique. Il y avait les guerres classiques, celles où les hommes s’affrontaient face à face, il y a eu les guerres sournoises du terrorisme et maintenant il y a les guerres bactériologiques. Et au milieu de tout cela, il y a vous et moi, virevoltant comme un...
Ce report ne sera pas sans conséquence. En effet, des spécialistes estiment que la facture pourrait s’élever à quelque 2,5 milliards d’euros. Ce chiffre correspond aux frais de location des sites d’accueil, à diverses modifications dans les plannings établis (hôtellerie, emploi, agents de sécurité, etc.). En fin d’année dernière, le Japon déclarait que les Jeux couteraient au total 11,5 milliards d’euros. C’était sans compter le décalage de l’évènement sportif le plus médiatisé au monde. Les sponsors ne sont pas en reste et on peut allègrement imaginer que Thomas Bach, le président du Comité international olympique, a dû s’entretenir avec eux avant d’annoncer ce report. Le CIO a déclaré que 57% des 11 000 participants prévus aux JO ont déjà obtenu leur qualification. La question est de savoir comment organiser le reste des épreuves qualificatives dans le contexte actuel. Plusieurs disciplines, comme la boxe ou le judo, ont vu leur tournoi de qualification suspendu en raison de la crise sanitaire liée au Covid-19. "Les quotas alloués restent alloués", déclare-t-on du côté du Comité olympique. Il y avait les guerres classiques, celles où les hommes s’affrontaient face à face, il y a eu les guerres sournoises du terrorisme et maintenant il y a les guerres bactériologiques. Et au milieu de tout cela, il y a vous et moi, virevoltant comme un...