Il y eut au moins deux Kellogg célèbres au dix-neuvième siècle aux États-Unis. John Harvey Kellogg popularisa son patronyme en inventant en 1894 des flocons de maïs qu’il annonçait capables de refreiner les tentations masturbatoires chez l’homme.
Mark Kellogg, lui, fut le premier journaliste de l’Associated Press mort en service lors de la bataille de Little Big Horn (actuel Montana) en juin 1876, scalpé par l’un des hommes de Sitting Bull. Moralité : il y a cent ans déjà, écrire des articles rapportait moins que vendre de la camelote.