Il n'y a pas de spiritualité sans politique.
Les crétins qui appellent au replis sur soi, je propose qu'on les laisse sur leur île imaginaire.
Quelques nourritures pour notre culture politique :
Sur la déshumanisation par le jargon technique :
Faut-il renoncer à sa liberté pour être heureux ?
Qu'est-ce que la laïcité ?
Le libéralisme est-il compatible avec la solidarité ?
Le bien-être, au prix de quoi ?
Le capitalisme est-il un projet anti-humain ?
L'humanisme est-il compatible avec l'écologie ? L'écologisme n'est-il pas, comme le nazisme, une forme d'ultra-libéralisme ?
Le capitalisme est-il compatible avec l'amour ?
Peut-on se passer des valeurs unverselles ?
Le culte de l'émotion est-il sain ?
Jusqu'au faut-il être "flexible" ?
Sans oublier les livres audio des grands classiques de la politique, comme par exemple la République, de Platon, qui ne sépare pas le politique du spirituel :