Même quand ça descend, on est porté par les vagues des phrases de Pauline Delabroy-Allard. Elle s’est inventé un ton qui fait parfois penser à celui de Duras et qui pourtant s’en éloigne très vite pour gagner des territoires n’appartenant qu’à elle – et, désormais, à nous.
Même quand ça descend, on est porté par les vagues des phrases de Pauline Delabroy-Allard. Elle s’est inventé un ton qui fait parfois penser à celui de Duras et qui pourtant s’en éloigne très vite pour gagner des territoires n’appartenant qu’à elle – et, désormais, à nous.