Pour des raisons que tout le monde comprendra, en
accord avec les organisateurs, mon éditeur et le délégué parisien
du Souvenir Napoléonien, je reporte sine die mes activités
publiques personnelles déjà programmées, l’une le le 17 mars à
l’Espace L’Autre Livre et l’autre, le 26 mars à la Fondation
Napoléon.
La
soirée Argentine qui devait avoir lieu dans le Quartier latin et la
conférence, San Martín, vainqueur des Andes et Fondateur de la Liberté du Pérou, qui devait être donnée à la Fondation
Napoléon, auront lieu à une date ultérieure, dans les mêmes
locaux et aux mêmes horaires. Il n’est évidemment pas possible
actuellement de déterminer une date.
La
bonne nouvelle, c’est que la rueda de mate sera sans doute à
nouveau possible à ce moment-là.
Bien
que je n’en aie pas encore la confirmation, il ne fait aucun doute
qu’aucun salon du livre ne pourra se tenir avant Pâques et
peut-être pendant une durée plus longue encore. J’ai donc retiré
de la Colonne de droite les affiches des salons où il était prévu
que je dédicace mes livres sur le stand des Éditions
du Jasmin.
Dans
ces circonstances difficiles pour le monde entier, je vais mettre à
profit le confinement volontaire qu’un auteur et chercheur
indépendant peut s’imposer pour travailler pour travailler les
enregistrements de diverses conférences que j’ai données depuis
quelques années en Argentine (en espagnol) et en France (en
français) et que je n’avais pas encore trouvé le temps de mettre
en ligne sur mon site Internet, en commençant par la présentation
de mon dernier livre, Manuel Belgrano – L’inventeur de l’Argentine, faite à l’Ambassade de ce pays à Paris le 27 février dernier. Bien entendu, j’avertirai les lecteurs de Barrio
de Tango de leur disponibilité en ligne.
Ici,
je tiens à remercier de leur soutien fraternel Saad Bouri, patron et
fondateur des Éditions du Jasmin, et Michel Inglebert, délégué du président du Souvenir
Napoléonien à Paris et en Ile-de-France. Ce genre de décision, en
pleine campagne de promotion de mon plus récent ouvrage, est
douloureuse mais elle ne souffre aucune hésitation. Je tiens à
saluer aussi les diplomates argentins et péruviens qui me font
l’honneur de soutenir mon travail et qui doivent actuellement
mobiliser toutes leurs compétences pour venir en aide à leurs
compatriotes bloqués en France par les difficultés du trafic aérien
et les incertitudes scientifiques qui entourent cette épidémie.