Médecines douces dans l’accompagnement de la maladie de Parkinson

Publié le 10 mars 2020 par Anne-Sophie Delepoulle @sosphamanet

La maladie de Parkinson est une maladie dégénérative qui peut-être maîtrisée par de nombreux médicaments. Malheureusement, dans cette maladie, on observe souvent un échappement thérapeutique avec la médecine conventionnelle.

Quelles sont les solutions naturelles pour accompagner ces patients?

Améliorer la maladie de Parkinson avec les compléments alimentaires SelectAfficher


Certains compléments alimentaires offrent un apport en précurseurs naturels de dopamine et noradrénaline:

DOPAZIUM, …

Améliorer la maladie de Parkinson avec la Gemmothérapie SelectAfficher

Bourgeons d’Aulne blanc (Alnus incana).

Alnus incana Mg 1Dh a un excellent tropisme pour le cerveau, il est indiqué en complément dans la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Prendre 50 gouttes dans un peu d’eau matin et soir avant ou après les repas.

Améliorer la maladie de Parkinson par homéopathie SelectAfficher

L’homéopathie ne dispense pas le patient de prendre son traitement traditionnel. Elle permet cependant d’améliorer certains symptômes, même si les résultats de l’homéopathie sont moins bons dans cette indication que pour d’autres maladies.

EN FONCTION DES TROUBLES

Souches les plus fréquentes

Manganum metallicum

L’intoxication au manganèse reproduit les mêmes signes cliniques que la maladie de Parkinson. Ce traitement n’est malheureusement pas efficace dans la vrai maladie de parkinson, mais donne de bons résultats dans les syndromes extrapyramidaux liés aux médicaments ou à certains toxiques Chez les sujet manganum, on note des troubles rhumatismaux (petites articulations, périarthrites), de type auto-immun. Il reste allongé pendant des heures sur son lit sans rien faire. Laryngite chronique.

Mercurius solubilis

Mercurius est caractéristique des personnes âgées « ralenties ». Indiqué chez le patient lent et tremblant, avec sialorrhée (salive qui coule) +/- signes pharyngés

Baryta carbonica Indiqué en cas de ralentissement général à la fois physique et mental (manque d’idées et de réflexions), avec tremblements, ralentissement de la pensée et de la parole. Régression sénile.

Gelsemium sempervirens Patient ralenti et tremblant avec en plus un sentiment d’inhibition et de la crainte de tout.

Autres souches

  • Stannum metallicum: en cas de fatigue importante accompagnant la maladie. Faiblesse au point de se « laisser tomber »
  • Conium maculatum : en cas de paralysies associées et de perte de l’équilibre
  • Causticum : en cas de très grande résistance à la mobilisation des membres
  • Sulfur dans un contexte de maladie de Parkinson déclarée suite à une autre maladie, avec d’autres pathologies associées…

TRAITEMENT DE TERRAIN

Luesinum: Sclérose précoce (cérébrale, tissulaire, vasculaire, articulaire…), Ulcérations, Evolution torpide, parfois indolente. Dystrophies, malformations, Algies linéaires, nocturnes profondes surtout osseuses, ostéoarticulaires. Paralysies…

Medorrhinum Si la maladie s’installe progressivement, lentement, évolue de façon inexorable, sans à-coup, sans crise, sans période de rémission. Amélioration par l’humidité. Comportement impatient et précipité avec agitation, bégaiement, insomnie. Tendance dépressive.

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Anne-Sophie DELEPOULLE (Dr en Pharmacie), www.sospharma.net, ma pharmacie en ligne

Dernière modification le: Mar 10, 2020 @ 16 h 47 min