Le lendemain, on enchaina Jean au fond d’un minuscule local de service, nu. On lui apporterait deux repas par jour. Ses collègues pourraient venir à tout moment déverser sur lui leur trop plein de frustrations et de haines. Matraque, tisonnier et couteaux leur seraient fournis de sept à dix-neuf heures.
Le lendemain, on enchaina Jean au fond d’un minuscule local de service, nu. On lui apporterait deux repas par jour. Ses collègues pourraient venir à tout moment déverser sur lui leur trop plein de frustrations et de haines. Matraque, tisonnier et couteaux leur seraient fournis de sept à dix-neuf heures.