Ils semblent incapables de se décider, non pas parce qu’ils n’avaient pas le choix. Après tout, nous avions plus de 20 concurrents à un moment donné, dont aucun n'était évidemment assez bon pour se démarquer par leur programme et / ou leur personnalité.
Le seul qui a bien survécu fut Sanders qui a bénéficié d'un tour complet d'entraînement en 2016 et qui est resté fidèle au message qu’il s’était fixé.
Bien sûr, leurs noms ne les aidaient pas, l’un impossibles à prononcer, l’autre pas des plus sexy, mais c’était là une considération secondaire.
L'essentiel était leur manque de charisme ; leur candidatures respectives étaient tout simplement trop faible sans cet élément. Réfléchissez y bien et pensez juste à Macron ...
Et ne me dites pas que l'Amérique n'est pas prête pour une femme ou un président gay ; il n’y aurait aucun problème si le candidat était à la hauteur !