Le recours aux technologies numériques, biométriques et autres, à des fins de contrôle de la population, jugée de facto subversive et belliqueuse, voire carrément d’emblée délinquante et cela dès son plus jeune âge (une obsession bien droitière) , est en voie d’une telle banalisation que plus grand monde, hormis quelques irréductibles dont je suis, ne s’en préoccupe vraiment. Aussi, dans un tel climat de régression généralisée des libertés publiques fondamentales, cette victoire judiciaire contre la vidéosurveillance par le biais d’une technologie controversée à juste titre est passée plutôt inaperçue, d’où ma volonté de le mettre précisément en lumière. Cela s’appelle de l’information libre et non faussée par les lois du marché et des intérêts (économiques et idéologiques) dominants :
sourceje continue à suivre ce dossier de près, et cela d’autant plus que le parti dit majoritaire dans ce pays (ce que notre vie publique contredit chaque jour un peu plus) est également acquis à cette cause fort discutable qu’est la restriction des libertés, par le biais notamment des nouvelles technologies… comme de l’usage immodéré de la force publique, avec les dégâts que l’on sait en matière de droits humains.
source