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I heard the bells on Christmas dayTheir old familiar carols play,And wild and sweet The words repeatOf peace on earth, good will to men.
I thought, asnow this day had come,The belfries of all ChristendomHad rung so long The unbroken songOf peace on earth, good will to men.
And in despair I bowed my head“There is no peace on earth, ” I said,“For hate is strong And mocks the songOf peace on earth, good will to men.”
Then pealed the bells more loud and deep:“God is not dead, nor doth He sleep;The wrong shall fail,The right prevailWith peace on earth, good will to men.”
Cette chanson de Noël est adaptée du poème rédigé par Henry Wadsworth Longfellow, en 1863, durant la guerre de sécession. Elle exprime donc son désespoir devant le déchaînement de haine auquel il assistait alors, et dans lequel son fils fut gravement blessé, peu de temps après qu’il eut lui-même perdu son épouse dans un accident tragique. Mise ensuite en chanson, sur une musique de Johnny Marks, elle veut néanmoins exprimer l’espoir que l’on doit garder en toute circonstance. Bing Crosby en fut le premier interprète, suivi par beaucoup d’autres (Burl Ives, Harry Belafonte, Andy Williams).
A Murielle et Serge Barrière et au Chœur du Souvenir (Province de Québec)
Les Carillons de Noël
Les cloches, le jour de NoëlSonnent les chants traditionnelsSi merveilleuxEt audacieux :« Paix sur la terre, fraternité »
« Combien de fois », ai-je pensé« Les clochers de la ChrétientéOnt, chaque annéeCarillonné :Paix sur la terre, fraternité » ?
Baissant la tête, je désespère,Ne voyant pas de paix sur terre.La haine vaincL’espoir est vainDe paix sur terre, fraternité
Mais les cloches ont sonné plus fort« Dieu ne dort pas ; il n’est pas mortLe mal cherraLe bien vaincraPaix sur la terre, fraternité »
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)