En fin de compte, en réalité dès la toute première écoute, Joyful se révèle être un petit joyau, en sept morceaux d’environ cinq minutes – avec ses discrets mais tellement subtils samples ! Si les années 70 et 90 semblent avoir influencé le génial australien Andrew Wilson, le résultat demeure étonnant en cette année 2020 : la musique électronique est probablement l’un des genres les plus larges tant il brasse dans toutes les directions et dans tous les univers.
Je vous le disais il y a quelques jours seulement : oui, le printemps a réellement envie de commencer à s’installer. S’il s’annonce aussi agréable que Joyful, pourvu qu’il dure longtemps !
(in Heepro Music, le 14/02/2020)
éèé