On ne parle pas assez de la dure condition des trolls la période estivale venue.
L'été arrivant, le blogguer prend généralement quelques vacances. Pour un blog inutile comme celui ci, ce n'est pas bien grave, il n'est pas assez connu ou lu pour attirer les trolleurs.
Les trolleurs sont une race à part , intervenant de préférence (mais pas que) sur les blogs politiques pour vous indiquer le profond dsarroi, dégoût même, dans lequel vos thèses les plongent surtout si vous êtes un infâme gauchiisss (bien faire chuinter le s et ne pas prononcer le te, fait ressortir le mépris dans lequel ils vous tiennent).
Seulement le troll, il est comme vous et moi, il a ses blogs (cibles) fétiches, ainsi quand certains comme DidierB.et d'autres, lassés de leur montée permanente au classement Wikio, décident de prendre du recul dans un monastère afin de méditer sur les afffres de la célébrité, le troll se sent seul.
Il parcourt donc la liste des liens du blogger retiré provisoiremnt des affaires pour aller en attaquer d'autres. C'est comme ça qu'un certain bockellien avec qui j'avais eu une algarade sur mon autre blog et qui était un habitué chez Didier s'est retrouvé chez DominikVallet qui ne connaissait que depuis peu l'existence du phénomène.
Il ya aussi le troll surgi ex nihilo, tel celui qui est apparu chez Pasperdus, l'autre jour, certainement un sarkozyste dépité d'avoir travaillé plus et de...ne pas pouvoir partir en vacances.
Autre espèce, le troll spammeur et usurpateur d'identités, l'un a sévi récemment chez Sarkostique, envoyantr une tonne de messages idiots, tous identifiables au style, et reprenant à chaque fois les identités d'intervenants réguliers du blog.
On trouve aussi le monomaniaque qui est persuadé que l'auteur du blog, LaFleurauxdents en l'occurence, s'autocommente et vous apprend donc que vous n'existez pas, vu que vos commentaires sont en fait ceux du taulier du blog.
Une espèce curieue à laquelle j'ai eu affaire récemment , c'est celle qui vous insulte après avoir fait un contresens total sur votre article, mais c'était peut être le fait d'un déjeuner alcoolisé de sa part.