Les deux tombes de Paul Urbain de Fleury.
Seule la tombe qui se trouve à l’entrée du cimetière est encore visible. Il est vrai que le cimetière a été remis en état et qu’il reste peu de détail sur toute cette affaire, il faut donc travailler sur des écrits et des témoignages quelques fois romancés par les narrateurs locaux, qui ne détestent pas entretenir le mythe et ainsi tenir en haleine les curieux que nous sommes.
D’après l’écrivain Gérard de Sède, les inscriptions sur la tombe de Paul Urbain de Fleury sont d’origine Maçonnique. L’argument avancé ici, porte sur une inscription située sur la face arrière du pilier de la tombe et qui dit :
Il est passé en faisant le bien.
Il est vrai que la devise des chevaliers dit :
Tout Maçon Chevalier Bienfaisant de la cité Saint et Prince de Merci passe en faisant le bien.
Mais rien ne prouve son appartenance à une loge bien que celle de Limoux toute proche, née en 1772 était connue sous le nom des « Enfants de la gloire des commandeurs du temple ».
L’inscription n’est plus très visible, comme si le temps ou quelqu’un avait voulu faire disparaître cet indice.
Car il me semble évident que Paul Urbain de Fleury est celui qui a découvert le premier le fabuleux trésor, et que par la suite l’abbé Boudet (Qui est resté prêtre 42 ans à Rennes les Bains) a décrypté les indices et trouvé la cache du magot, qu’il a déplacé et indiqué à sa façon avec des indices à lui.
L’abbé Saunière a également fait sa propre chasse au trésor et lui a trouvé des parchemins et des textes portant sur des secrets, qui ont surement dérangés. Il a lui aussi laissé des indices et des messages sur la teneur de ce secret.
Mais il est certain que tous, on bénéficiés de sommes considérables pour les travaux et les rénovations qu’ils ont lancés.
Le mystère des 2 tombes.
Aujourd'hui, une seule des deux tombes de Paul Urbain de Fleury est encore visible, mais nous trouvons des indices et des témoignages attestant de la véracité du fait, il y avait bien 2 tombes portant le même nom. L’une des 2 tombes (celle près de la famille Boudet) a aujourd'hui disparu.
Etrange pour une concession perpétuelle.
Nous n'avons aujourd'hui aucune preuve de l'existence de la seconde tombe.
Egalement en ce qui concerne leur disposition avant la remise en état du cimetière.
On peut toutefois s’en faire une idée, à partir du livre de Gérard de Sède.
A suivre.