Karen vit dans un petit village dans la banlieue d'Amsterdam, auprès de son mari Michel, producteur pour la télévision. Récemment arrivés dans le village, ils se sont rapprochés de voisins appartenant au même milieu social qu'eux.
Mais quand l'un d'eux est soupçonné d'avoir mis le feu à sa maison et se tue dans l'incendie, tout bascule.
- Que de caricatures ! Les femmes passent leur temps à boire et à répondre à des désirs "irrépressibles", les hommes ressemblent à des coqs prêts à tout pour séduire les belles, et j'en passe...
- Le récit à la première personne donne un côté mièvre au récit.
- La superficialité des propos est aberrante : on ne connait jamais ses amies, l'argent pervertit tous les sentiments, on ne peut pas lutter contre son désir, rien ne vaut une petite virée en ville pour dépenser des sommes folles dans des tenues qu'on ne remettra jamais, un petit verre de vin et tout repart (elles ont dû lire le livre de Vania Pagano)
Ce roman a obtenu le Prix SNCF du Polar européen en 2010