A ce jour, les femmes parlementaires travaillent à poser les grandes lignes du fonctionnement de leurs deux caucus. Une fois les structures de fonctionnement et les présidences des bureaux effectives et sur pied, un agenda de travail sera mis en place pour le premier mandat de ce bureau.
Dans l’immédiat, des tournées dans l’arrière pays à travers des caravanes parlementaires dédiées au genre afin seront lancées pour connecter les caucus avec l’électorat féminin. Un électorat qu’il faut d’abord sonder et dont il faut écouter les attentes les plus urgentes. La paternité de cette évolution positive de la cause des femmes revient au chef de l’Etat, Ismail Omar Guelleh, qui a impulsé une dynamique globale et qui a porté les femmes aux plus hautes sphères politiques et décisionnelles du pays. La création de ces caucus est une étape certes décisive, mais elle s’inscrit dans l’action du président de la République, Ismail Omar Guelleh, qui a décidé d’intégrer des femmes dans son gouvernement d’une part et de leur accorder un quota de 10% au Parlement en 2003, avant de le porter à 25% en 2018. C’est ainsi que de nombreuses jeunes femmes éduquées et cultivées ont pu avoir la chance et le grand honneur de servir leur pays en qualité d’élues nationales. Aujourd’hui, les femmes prennent part activement à la dynamique de développement socioéconomique du pays. Elles sont présentes au gouvernement, au parlement, et dans toutes les hautes sphères de décision publique.
Comme chaque année, le baromètre annuel du quotidien La Croix offre aux Français un état des lieux des relations qu’ils entretiennent avec leurs médias. A dire vrai, ce n’est pas le grand amour. Mais en même temps, cela doit-il l’être ? On lit dans...