Hillary Clinton aurait personnifié le stéréotype de la femme que les Américains haïssent. C'est ce qui expliquerait son échec. Quant à Donald Trump, il serait le "real man" de la culture locale. Analyse de Joan C. Collins dans White Working Class.
Les stéréotypes ont la vie dure. Mais, paradoxalement, sont-ils fatals ?
Quelle est la dirigeante que l'on aime ? Mme Merkel. Mutti. Une femme politique qui représenterait la compétence et la maternité serait imbattable. D'ailleurs, c'est l'histoire de Mme Merkel : elle a liquidé un à un les hyper machos de la politique allemande, de tous les camps, justement en jouant sur leur point faible : leur complexe de supériorité.
Et si l'égalité se jouait sur la différence assumée, et même sur ses faiblesses ? Le secret du succès de M.Trump ?