Podcast - Plus Étrange que le Paradis - Episode 51
Plus étrange que le paradis est de retour avec un podcast qui part dans tous les sens : punk irlandais, musique électro brésilienne, ciné américain d'après-guerre et ciné japonais. Et oui, comme d'habitude, ton podcast ciné et musique préféré n'hésite pas à bousculer les lignes, quitte à laisser quelques auditeurs sur le côté. Si tu penses être capable de tenir une heure d'émission culturelle alternative, alors branche tes écoutilles.
Qu'est-ce qu'il y a au menu de ce nouveau podcast #51 ?
Tu l'as compris, c'est toujours pareil, c'est-à-dire qu'il y a du cinéma et de la musique. Comme c'est notre art de prédilection, commençons donc à parler musique. Denis D2G a décidé de présenter Amon Tobin, un fameux DJ brésilien qui n'a pas sorti qu'un seul album en 2019, mais deux. Et Long Stories dont Denis va parler fait partie de ces deux albums. Toujours en 2019 mais loin du Brésil, Lazy Pete t'embarque pour une croisière musicale mouvementée direction l'Irlande, avec les énervés de Fontaines D.C. et leur album Dogrel.
Niveau ciné, Damien Butcher continue d'explorer les souvenirs et les rêves des autres. Cette fois, il a posé son dévolu sur le film de Dalton Trumbo, Johnny s'en va t'en guerre, sorti en 1971. Une histoire qui en demande autant au personnage principal qu'aux spectateurs du film. Sans transition aucune, Julien Zaba va lui s'attaquer une autre oeuvre cinématographique japonaise : Kamikaze Girls, de Tetsuya Nakashima, sorti en 2004.
Ça s'écoute où déjà ?
Vu que tu ne suis pas, on te réexplique. Tu peux écouter le podcast Plus étrange que le Paradis sur deux plateformes différentes : Mixcloud et Youtube. Choisis ton camp ! Nous, on a une préférence pour Mixcloud donc voilà l'émission numéro 51 juste ici.
Si tu veux faire un cadeau de Noël à l'équipe de Plus étrange que le paradis, partage le podcast à tes amis et ta famille. Cela vous fera des sujets de discussions autour de la dinde trop cuite. Et sinon, tu peux déjà liker l'une de ces pages, si ce n'est pas encore fait :
On se reparle après Noël !