Dans une dizaine de jours, ceux qui y croient encore attendront la venue de ce bonhomme qu’on nomme le père Noël, car avant d’être un nom, Noël est une date. On le dit « père », alors que pour les enfants qui en attendent beaucoup, ce pourrait plutôt être le grand-père. Mais peut-être n’est-ce que la déformation de ce souhait : j’espère Noël. Des syllabes qu’on pourrait écrire autrement : j’ai ce père Noël.
Les herpétologues qui ne jurent que par les serpents chantent la vipère Noël (Là, vis, père Noël !)
Les brigands qui s’y cachent célèbrent le repaire Noël. (l’heureux père Noël)
L’arachnologue présente en cette saison l’épeire Noël. (les pères Noël)
Vous pouvez prolonger cette liste en notant d’abord des mots finissant par le son « per », quelle qu’en soit l’orthographe. Puis vous construisez une petite phrase incluant un des mots de votre liste suivi de Noël, comme dans les exemples ci-dessus.
Une phrase, ou deux, ou trois que vous posterez dans les commentaires ci-dessous. Merci.