Alors que les agressions d’étudiants commises par des bandes armées d’extrême-droite n’ont cessé de se multiplier ces derniers mois, comme je l’ai scrupuleusement noté ici, on est en droit de se demander publiquement si elles ne bénéficient pas sinon de la complicité, du moins d’une certaine bienveillance ou d’un grand laxisme de la part de la (soi-disant) majorité politique de ce pays.
En effet, ce n’est pas la première fois que des étudiants sont attaqués par des membres de l’Action Française, comme ici, à Strasbourg, où j’avais déjà relevé une surprenante complicité entre la droite de Macron, qui a tout intérêt à faire cesser quels que soient les moyens employés (comme on a pu le constater à Montpellier avec l’histoire du doyen Pétel) les blocages d’universités, et les fachos habituels… secondés par les forces de l’ordre, l’ autre bras armé du capital…
sourceCette milice d’extrême-droite, d’essence terroriste, peut donc tranquillement revendiquer son action publiquement, par un communiqué de presse, sans être inquiétée outre mesure ? Mais que fait la police ?
Réponse :
Voilà, vous y êtes. Faut vous faire un dessin ou bien ?