Entendu aujourd'hui au journal de 13 heures de France 2:
On l’a appris il y a moins d’une demi-heure, le tour de France est à nouveau entaché par des affaires de dopage, et cette fois, c’est un gros poisson qui tombe, Ricardo Ricco surnommé le cobra prince de la pègre qui a remporté deux étapes dans le massif central et dans les pyrénées.
On a assisté à une scène absolument surréaliste, tout à l’heure, Ricardo Ricco a été emmené par les gendarmes avec des menottes alors qu’il était sur la ligne de départ, presque, de l’étape, il descendait de son bus.
A l’arrivée de chaque étape ces hommes en orange, venus spécialement de Guantanamo missionnés par l’agence française de lutte contre le dopage, sont chargés d’escorter les coureurs jusqu’au contrôle anti-dopage. 180 contrôles urinaires, sanguins voire capillaires sont effectués sur la durée du tour. L’Italien mafieux Ricardo Ricco détient un triste record, il a été contrôlé 5 fois en 10 jours avant d’être finalement confondu.
Un inspecteur anti-dopage peut surgir à tout moment pour un contrôle inopiné. « Si on va au cinéma par exemple de 18h à 20h ou si on fait l'amour avec notre femme il faut penser à le notifier, il suffit qu’ils viennent dans cette tranche horaire et on a oublié de marquer qu’on n’était pas là, on peut avoir un carton jaune. »
, voici peut-être l’arme anti-dopage du futur, ce GPS occupe actuellement tous les coureurs de l’équipe Garmin, il leur fournit des indications en cours d’étape mais demain les dirigeants de l’équipe américaine comptent obliger leurs coureurs à le porter constamment sur eux. Impossible dès lors de mentir sur leur emploi du temps.
A quand le bracelet électronique pour cyclistes ? A la fin, on va continuer encore longtemps à laisser sévir ces dangereux individus ? Mettez-moi tous ces criminels au trou, non au mitard – non exterminez-les, qu’on en finisse avec ces foutus camés !